2 min lu
09 Feb
09Feb

Personnage féminin imposant né un vendredi 13 en 19 ?? (Invérifiable !!) dans la Bourgeoisie Monégasque. 

Affublée d’un bandeau rouge et noir dans les cheveux (Carré Hermès), d’un collier de vraies perles blanches (vérifiable !!) assorti du bracelet et des boucles d’oreilles du même acabit.

Elle revêt une magnifique paire de lunettes DIOR. Martine Superstar possède un style bien propre à elle et « sur elle », comme elle aime à le dire et redire. Elle vit dans une époque arrêtée en 1969. 

De sa façon de s’habiller (Courrèges, Paco Rabanne, etc.) à son style de vie (elle possède toute la technologie de son époque et se croit toujours au goût du jour. NDLR). 

D’une allure légère et gracieuse, son sourire angélique et enjôleur la différentie « des autres ». Son humeur joviale se fait entendre par son éclat de rire légendaire de 3 syllabes : « hu hu hu ». 

Mariée une douzaine de fois à des Messieurs âgés, aisés, libidineux et ventripotents qu’elle use à tour de rôle et ce, afin d’être couchée sur leur testament.

Férue de soirées Mondaines, elle n’hésite pas à se faire désirer des plus jeunes comme des vieux 

« beaux » rencontrés lors de « Party’s ». 

Elle se laisse volontiers « entretenir » avec une frivolité certaine. Cette ancienne speakerine de l’ORTF, (Première chaîne), a bien connu Guy Lux, Pierre Sabbagh, Denise Fabre et Garcimore. 

Elle participe aux fameux « Jeux de 20 heures », « La piste Aux Etoiles », « L’académie des 9 », 

« Le juste prix», « Les Z’amours » et « L’île aux enfants ». Auteur de quelques chansons de Dorothée dont : « Oh la menteuse, elle est amoureuse ! », chorégraphe de Rika Zarai : « Sans chemise, sans pantalon ! », mannequin-vedette du défilé de la Redoute, rien de l’arrête ! 

Après avoir été recalée à l’examen d’entrée d’Air Inter pour le motif « pieds plats », la voici représentante de son pays lors de l’Eurovision 1975. Elle finit deuxième en interprétant « Une chanson c’est une lettre ». Le 45 tours s’épuise à quelques exemplaires sur l’Ile de Pâques et alimente encore les vide greniers locaux. 

S’appropriant ainsi la langue de Jane Birkin, elle s’envole pour Hollywood où déjà l’attendent la M.G.M, la Paramount et Century 21. C’est donc en série, qu’elle participe dans « Martine Superstarsky et Hutch », « La petite Martine dans la prairie », « Ma Martine bien aimée » et tient le rôle de la femme de « Columbo ». 

Sur grand écran : filmé en grand angle,  la gigantesque trilogie « Martine Superstarwars » et surtout « Les charlots en Espagne ». Très marquée dès l’enfance par son aïeule la Reine « Marie-Antoinette », qui lui répétait sans cesse : « Martine, Martine où ai-je encore mise cette foutue couronne ? Tu verras un jour, je finirais par perdre la tête », Martine Superstar incarne le rôle au cinéma, quelques décennies années plus tard, ce qui lui vaut la plus célèbre des récompenses. 

Sa statuette entre les mains, elle partage sa vie désormais entre le pays helvétique d’Heidi et un château périgourdin, dont la cachette (tenue secrète) fait des envieux. 

Elle sort de son Royaume au décorum psychédélique pour nous prodiguer ses recommandations telle une Nadine de Rothschild et vient de signer à coup de millions d’anciens Francs, son retour sur scène prévu très prochainement.   


SAS Martine Superstar n’est pas morte, vive SAS Martine Superstar.

Commentaires
* L'e-mail ne sera pas publié sur le site web.
CE SITE A ÉTÉ CONSTRUIT EN UTILISANT